Johanna Moralez
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Date d'inscription : 10/03/2011
 |  Sujet: Présentation de Johanna Moralez (terminé)  Jeu 10 Mar 2011 - 1:16 | |
| ::INFORMATIONS PRATIQUES::
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Nom: Moralez
Prénom: Johanna
Âge: 23 ans
Sexe: Femme
Signes particuliers: Détient un médicament qu'elle s'injecte sous forme sous-cutané lorsque sa montre, qu'elle a soigneusement programmé, sonne à ses heures d'injections.
Métier: Chimiste
Votre fonction dans la base: Infirmière et Agente, parfois appeler à être sur le terrain.
Travail en dehors de l'agence: Chimiste pour une compagnie Pharmaceutique
Code d'identification: JM-14-55
Base à laquelle vous désiriez être affecté: Montréal |
::INFORMATIONS DESCRIPTIVES::
 | Caractère: Tellement de chose à dire, très peu de temps pour la définir. Cette jeune femme à passer à travers divers obstacle dans sa vie qui ont fait d'elle ce qu'elle est aujourd'hui. Elle semble stricte et très concentré au travail, que l'on pourrait la méprendre en pensant qu'elle est une personne sérieuse dans tous les aspects de sa vie. C'est ce qui fait sa force, disons que lorsqu'on joue avec la vie d'une personne, vous ne voulez certainement pas être entre les mains d'un incompétent. Autrement, elle demeure une femme très spontanée, souriante et sociable. Johanna sait tout simplement faire la part des choses. Toute fois, il est très facile de savoir quand elle ne va pas puisqu'il y a un changement drastique dans son attitude.Aussi bien dire qu'elle passe du blanc au noir. On peut facilement la lire comme un livre ouvert tellement elle est transparente. Toute fois, Johanna essait de travailler ce point car elle souhaite que certain aspect de sa vie ne soit pas nécessairement dévoilé. Chacun à ses petits secrets. Parfois anodins ou dont leur vie en dépend. Si vous souhaitez réellement le savoir, essayé de la convaincre de vous en parler. Toute fois, je ne garantis pas qu'elle épluchera les divers aspects de sa vie comme si vous étiez de bon vieux amis, de vieille connaissance. Tentez plutôt d'établir un lien de confiance avec avant de vous lancé sur chemin raboteux, épineux.. sinon vous risquez certainement de rencontré quelques obstacles sur votre chemin. Son passé la hante bien plus que ce que l'on pense. Et malheureusement, Johanna ne peut pas fuir la réalité et encore moins les conséquences de ses actes. Malgré tout, elle garde la tête haute et profite des derniers moments qu'il lui reste. Et ce bien sûre, si elle ne trouve pas la clé à son énigme.
Qualités: Jo est quelqu'un de dévouer. Aussi bien en amour qu'en matière de soigner des blessés. Elle prend son métier à coeur et croit sincèrement que cela est une façon de repayer pour les mauvaises actions qu'elle a commise. Elle tendra toujours la main pour les gens dans le besoin. Il est rare qu'elle est de mauvaise humeur. Elle est très respectueuse et intègre. Jo ne juge pas par l'apparence, disons qu'elle regarde d'abord la personnalité. Elle est franche, si quelque chose n'est pas à son goût vous allez le savoir toute suite. |
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Défauts: Le désir de ne pas impliquer personne dans son problème personnel peut parfois la rendre dingue au point de repousser les gens au lieu de leur laisser tout savoir. Disons que la vulnérabilité l’effrait au plus haut point. Ayant autrefois fait confiance à quelqu’un à un tel point qu’elle n’était pas sur ses gardes. Le cœur à ses raisons que la raison ignore. La chimiste ne souhaite plus faire confiance aveuglement puisqu’elle a été trahis par cet homme et que celui-ci en à profiter.
Manies, tics: Ses injections, se promène toujours avec un petit livre, là où elle tient une liste de chose personnel.
Physique: Séduisante, charmante et surtout envoutante, sa beauté et son charme fait tourner beaucoup de tête. Mesurant 5 pi et 7 po, elle se situe généralement dans la moyenne. Soit pas trop grande ni trop petite. Johanna est une femme qui mange sainement et qui s'entraine pour garder la forme. Le cardio et les réflexes sont ce qui a faite qu'elle est encore en vie aujourd'hui. Elle a la peau douce et saine, toute fois légèrement bronzé. Des yeux bleux qui réflètent une profondeur sur ses sentiments en toutes circonstances, on peut parfaitement dire que ses yeux sont le miroir de ses émotions. Sa longue chevelure blonde, s'arrête à mi-dos et est légèrement dégradé. Elle les porte attaché la plupart du temps. Jo ne porte pas souvent des bijoux mais elle se sépare rarement de la bague de sa mère. Son style vestimentaire varie entre un style décontracté et tenue sophistiqué. Étonnament, il y a des journées où elle va arrivé à l'infirmerie en uniforme et d'autre en tenue plus classique, soit sarrau, chemisié, pantalon propre et talon haut. Selon les matinées, elle va soit médité, faire du jogging ou prendre un café dans le bistro du coin en lisant le journal avant de se rendre au travail. Elle a beaucoup d'endurance, aussi bien à la douleur ou lors d'une course pour atteindre l'objectif principale. La fatigue n'est donc pas un obstacle avant plusieurs heures. Lorsqu'elle est frustré, le sac de sable devient sa cible. Croyez-moi, vous ne voulez pas être à la place du sac de sable quand c'est le cas. |
::INFORMATIONS HISTORIQUES::
Histoire: Ma vie n’a rien d’extraordinaire. Je ne suis pas née dans une famille riche et encore moins dans une famille pauvre. Toute fois, mon père m’a beaucoup apprit. Étant la seule enfant dans la famille, son besoin de partagé ses connaissances m’était entièrement dédié. Tout ce qui concernait la nature, aussi bien la faune, les animaux ainsi que comment se débrouiller seule en forêt pour survivre, m’était extrêmement précieux. C’est comme si c’était l’unique trésor qu’il pouvait véritablement m’offrir. Ma mère n’aillant pas survécue à mon arrivée dans ce monde, j’étais l’unique lien qui prouvait qu’elle avait existé.
Ai-je cherché à connaître tout d’elle ? Oui et mon père me racontait leur histoire avant de m’endormir quand j’étais enfant. Ce qui me réconfortait énormément. Elle m’a prise dans ses bras, m’a sourit et m’a même murmuré quelques mots avant de rendre son dernier souffle. Évidement, je ne me rappel de rien car je doute avoir le pouvoir de me remémorer ce doux moment. C’est mon père qui me l’a raconté. Je n’étais donc pas née dans une boite de Cracker Jack comme un certain garçon à l’école n’arrêtait pas de me dire durant les récréations. Jusqu’à ce qu’il ce fasse prendre par madame Boisvert, ma professeur. Nettoyé des brosses et les tableaux pendant une semaine et une lettre d’excuse écrite de sa main, fut la punition qu’il récolta pour m’avoir fait cette blague de mauvais goût. Heureusement, j’avais une amie, pas n’importe qu’elle amie, je parle ici de Jana. Je compte plus le nombre de fois qu’elle a prit ma défense ou bien, qu’elle ma réconforté dans les moments où je souhaitais réellement que ma mère soit là. J’ai toujours pu compter sur elle…
Jusqu’au jour où une véritable tragédie frappa de nouveau à notre porte. Tout ce que je me souviens c’est que mon père n’était pas le même. Quoi qu’il essayait d’agir comme il est toujours d’habitude. Je ressentais très bien qu’il y avait quelques choses qu’y n’allait pas. Je ne l’avait jamais vue aussi fébrile, anxieux et même, donné des ordres non discutable. Il me demandait d’avoir confiance, de suivre ses directives et surtout, de ne pas revenir en arrière. Je ne comprenais pas du tout ce qu’il attendait de moi. Après tout, je n’avais que quinze ans. Pourtant la consigne était claire. Sortir de la maison, courir aussi vite que je le pouvais, pour me rendre à notre cachette secrète. Je me rappel lui avoir répondu, que je n’avais plus cinq ans mais bien quinze, lorsque son ton de voix prit une ampleur que je n’avais jamais connu. La situation était grave et je devais obéir. Il attendait que je lui donne ma parole. Mes yeux clos laissèrent quelques larmes s’échappés lentement avant de les rouvrir et croisés le regard de mon père à nouveau. Je lui ai donné ma parole et j’ai quitté ma demeure seule. Laissant mon père avec les chacals, c’est ainsi que je les nomme, ces hommes assoiffés qui n’ont qu’un but en tête, se servir de mon père, peu importe le prix. Tandis que je courrais a en perdre haleine, j’entendais des voix et des coups de feu. Malgré le désir qui me tiraillait de retourné à la maison, je continuais ma course effréné vers notre repère. Je devais l’attendre là…
Mais, après trois jours, je devais admettre qu’il lui était arrivé quelque chose. Le seul moyen d’en avoir la certitude était de retourné vers ma demeure. Sauf que j’avais promis de ne plus jamais lui remettre les pieds, quoi qu’il arrive. Malgré la peine qui me rongeait, je devais admettre que je n’allais pas vivre pour toujours dans cette cachette. Je me rendis donc chez Jana. Non pas qu’elle vivait près de chez moi mais c’était le seul autre endroit où je me sentais en sécurité.Accueillis à bras ouvert, je ne compte plus sur le bout des doigts ce que Jana et sa famille à fait pour moi.
Lorsque la disparition de mon père fut confirmée et que son corps fut retrouvé, j’étais en droit de pouvoir retourner dans ma maison, récupérer ce qui m’était cher. Je ne suis pas retournée seule, mais avec beaucoup de monde, surtout des policiers et d’autres membres de la force de l’ordre. Ma chambre fut la première pièce que j’ai fouillée. Heureusement pour moi, mon père m’avait laissé un petit cahier bien caché parmi les livres de ma bibliothèque. Le seul livre qui n’aurait pas du se trouvé parmi des romans et des livres éducatifs. Je tendis ma main pour le prendre et je m'y accrochait comme si ma vie en dépendait. Ce qui était le cas, en quelques sortes. C'était un livre remplit de mots que mon père avait écrit aussi bien pour me réconforté mais aussi remplis de formule que j'éffleurais du bout des doigts sans rien comprendre à ce charabia. Je connaissais certain symbole mais j'étais loin d'être capable d'en déchiffré le contenu.
Ce qui m'amène au moi d'il y a quelques mois, travaillant pour Charles Frey, un scientifique avec de grand ambition. J'étais contente, j'avais été choisi parmi plusieurs candidats après avoir terminé mes études avancés en chimie pour travaillé sous sa tutelle. Le grand Charles Frey, tout chimiste débutant souhaite travaillé pour lui car il est un véritable visionnaire. Si seulement ils savaient la vérité... Charles Frey... je ne suis pas prête de l'oublié. Il a prit mon coeur et sans le savoir, il a prit ma vie. Au début, je me contentais de faire ce qu'il me demandait, heureuse de l'attention qu'il me portait. Toute fois, mon admiration se transformait en obsession. Je désirais être reconnu et surtout je désirais avoir toujours plus de son attention. On pourrait dire que j'étais une maniaque ou tout simplement aveuglé par mes propres sentiments, je réalisais lentement que j'étais tombé sous son charme. J'étais brillante, j'allais faire une découverte qui allait attiré son attention pour de bon. Oh oui, son attention était centré sur moi, ou plutôt, sur la création. J'avais dans chacune de mes mains, un véritable fléau et son antidote. L'amour rend aveugle... oui... sauf que lorsque je me rendis compte que j'avais fait cela pour un assoiffé de pouvoir, un homme qui voulait m'utilisé pour créer une armée de sur-humain, si leur corps ne rejette pas le virus, et qu'il voulait les deux formules. La visage de mon père refit surface dans ma mémoire. Je n'avais pas été choisis uniquement pour mes notes ou pour mes atouts, mais bien parce que j'étais la digne fille à mon père. Celui que j'aimais, avait fait partie de ceux qui avait tuer mon père. Une véritable engueulade s'en suivit dans ses appartements, hors d'écoute pour les invités de sa soirée mondaine. Et pour poussé l'audace, je m'injecta le fléau, me disant que si je devais mourrir et bien j'allais emporté la formule avec moi dans ma tombe. Je m'effondra au sol puis je ne me souviens de rien. Un véritable trou noir, Charles a surement dû m'injecté l'antidote. toute fois, je ne l'avais pas encore testé. Je découvris plus tard que j'avais créer un médicament qui ralentissait le processus du virus. Pour l'instant, les tentatives de Charles pour me réveillé, échouait lamentablement. Il perdait un temps précieux et des agents de L'A.N.G.E se trouvait à cette soirée. Charles fut arrêté, sans savoir la formule et mon corps fut transporté à leur base, à Alert Bay.
Comment je sais cela? C'est l'infirmière d'Alert Bay qui me l'a raconté à mon réveil. Et une fois rétablis, je fis la rencontre du directeur de la base qui m'offrait des formations pour me permettre de travailler pour eux. J'avais le choix mais surtout, je voulais réparer mes erreurs. C'était pour moi une seconde chance. Sauvé des vies au lieu de les détruire. Je me spécialisais pour travaillé en tant qu'infirmière. Et lorsque je termina ma formation auprès de l'infirmière d'Alert Bay, je fut envoyé à la base de Montréal. Une nouvelle vie m'attendait... c'est du moins ce que tout le monde croit. Moi j'en sais d'avantage, seulement, je ne sais pas combien de temps il me reste. J'essais de concentré mes efforts pour trouvé le remède miracle au virus que j'ai créer. Car non, je ne vais pas devenir une humaine avec des pouvoirs grandioses. J'ai mentionné plus haut que ma vie n'a rien d'extraordinaire. Justement, mon corps combat le virus, mais ne pourra pas le combattre éternellement. On récolte ce que l'on sème... Je suis toute fois heureuse de savoir que j'ai empêcher la production de cette création. Combien de vie ma création aurait détruit sinon?
Je n'ose pas l'imaginé mais je compte bien servir l'A.N.G.E jusqu'à mon dernier souffle...
Famille: Sa mère est décédé à sa naissance et son père est mort pour avoir désobéit l'homme pour qui il travaillait.
Autres: aucun.
::AUTRES::
Nom de votre/vos personnage/s: Mon seul compte, Johanna Moralez
Dernière édition par Johanna Moralez le Lun 14 Mar 2011 - 5:01, édité 19 fois | |
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Kellanko
Admin Fondatrice - Témoin - Agent de l'A.N.G.E.
Messages : 174
Date d'inscription : 04/11/2008
Age : 32
Localisation : Montréal/Québec
| | Sujet: Re: Présentation de Johanna Moralez (terminé) Mar 15 Mar 2011 - 0:21 | |
| Accepté. Magnifique fiche de présentation. Bon rp parmi nous  | |
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